lundi 29 octobre 2012

Rafaat Mrad Dali : L'enjeu, c'est réussir la gouvernance tout en faisant fermement barrage à la volonté d’anarchie des « revenants de la mafia politico-financière ».

Parce qu’ils  n’ont pas compris que les temps ont bien changé, parce qu’ils ont toujours ignorés le droit des peuples à la dignité et à la justice sociale, parce que cette révolution les dérange, ces forces contre-révolutionnaires visent encore à isoler et affaiblir les nouvelles gouvernances de leurs alliés traditionnels et à saboter les processus démocratiques. Elles sont omniprésentes à l’intérieur comme à l’extérieur car fortement appuyées financièrement et stratégiquement. Le mercenariat est visible et à tous les tarifs. Leur puissance de pénétration est favorisée par des médias locaux à « obligation d’allégeance à ces lobbies malfaisants » mais aussi par certaines oppositions de blocage peu éthique de toute action gouvernementale en vue de la paralyser tout simplement. Hélas, ces harcèlements sont indirectement encouragés par les séries d’erreurs et de valses-hésitations dans la gouvernance (Troïka), qui doit aussi se débarrasser  des égos démesurés et sélectionner les copinages en écartant les déficits de compétence.  On se croit « autosuffisants », alors que tout ceci fait battre de l’aile à « l’efficacité et la crédibilité ».
En attendant les résultats des enquêtes en cours sur le incidents survenus simultanément autour de l'ambassade US et l'école américaine (beaucoup de similitudes avec ceux des fidèles kadhafistes de Tripoli), nous avons le devoir au quotidien de ne pas nous laisser dépasser par toutes les manœuvres savamment maquillées et manipulées des tireurs de ficelle au service du mal et de la violence contre l’intérêt général.
 
 
رفعت مراد الدالي

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