mercredi 27 février 2013

Rafaat Mrad Dali à Abdelfatah Mourou : La confiance, c'est la justice et la sécurité partout avec des hommes de confiance à la solde de leur seule conscience..


La démagogie politique, ça suffit, on connaît la musique. Dites plutôt, « Il faut intégrer les hommes qu'il faut à la place qu'il faut dans le gouvernement » et non tourner en rond avec les mêmes dans l'immense souk des égos.. L'opinion publique apprécie peu les "Zig-zag"..
Si vous voulez que les fonds, les investissements et les touristes reviennent avec plus de vigueur, ramenez plus de confiance. La confiance, c'est la justice et la sécurité partout avec des hommes de confiance à la solde de leur seule conscience..
Cette réponse est également valable pour Monsieur Béji Caïd Essebssi qui déclare que "rien ne peut se faire sans Nidaa Tounès". C'est, le moins que l'on puisse dire, un peu prétentieux


Rafaat Mrad Dali : des zones d’ombre et des nuages sombres planent sur l’affaire de l’assassinat de Chokri Belaid. Qui sont les commanditaires ?


L’enquête doit aller plus en profondeur car, face à la spécificité hautement professionnelle de ce crime, gare à l’orage et au tonnerre.  
Tout doute est préjudiciable au climat politique, à la santé de la démocratie et à la confiance de sa gouvernance.

 Rappel : tout assassinat politique crapuleux est déjà maquillé et la vérité est souvent enfouie dans la face cachée de l'Iceberg. Souvent, les premiers "pointés du doigt" font partie du lot des boucs- émissaires. Nous voulons faire confiance à nos enquêteurs et à la justice pour la rendre visible (cette vérité) et apporter davantage de clarté sur les origines de l'assaut violent sur l'ambassade des USA ( pays ami et allié) et les destructions successives et organisées des mausolées portant un grave préjudice à l'image du pays et à sa révolution. Tout lien entre ces évènements est possible du coté des commanditaires.
  
AR : Observatoire vigilant de propositions et d'alertes contre toutes voies ou dérives antidémocratiques d'où qu'elles viennent..
« Les Valeurs au cœur de toutes les Actions et Réformes »

PS : en réponse à certains commentaires : je ne connaissais pas Chokri Belaid ni de près ni de loin. Tous nos posts à ce sujet sont assujettis à un  principe clair: la lutte contre toutes les formes politico-mafieuses criminelles quelles qu'elles soient, véritable fléau de toutes démocraties.

lundi 25 février 2013

Algérie – Tunisie : Rafaat Mrad Dali : « Chaque pays a ses richesses et ses poubelles et doit balayer devant sa porte.


En dehors de ceci, rien ne pourra altérer la forte fraternité entre les pays, les dirigeants et les peuples algériens et tunisiens, malgré les diviseurs et les théoriciens de tout poil… Tout le reste, est bagatelle..
 رفعت مراد الدالي

vendredi 22 février 2013

Rafaat Mrad Dali : Ali Laarayedh à la présidence du gouvernement tunisien. C’est dans l’ordre des choses. Je le félicite....

Ali Laarayedh - على العريضي
Il a longtemps souffert et cela forge un homme, il a beaucoup appris à son passage au ministère de l’intérieur et donc plus expérimenté, il est intègre dans un environnement de loups, il a l’esprit de famille socle de toutes les valeurs, il aime son pays sans démagogie.
Il lui reste à clarifier certaines zones d'ombre dans le fonctionnement et la maitrise de son ministère et s’entourer des hommes qu’il faut à la place qu’il faut.

La vérité et la transparence totales sur l'affaire de l'assassinat de Chokri Belaid seront déterminants pour affiner sa propre personnalité et ramener la confiance. Le président de la république Moncef Marzouki vient d'officialiser sa nomination. Légalistes, nous la respectons. Attendons de voir la suite..
L’environnement démocratique confronté à l'ombre de feu Chokri Belaid ne lui laisseront pas de répit, c’est aussi dans l’ordre des choses.

 رفعت مراد الدالي

jeudi 21 février 2013

Rappel : Rafaat Mrad Dali : « ce remaniement sera un quitte ou double pour la troïka et Ennahda en particulier. Le choix des hommes sera déterminant ».

Le 19 décembre dernier, nous avons tenu à participer, à travers la toile, au débat du remaniement et l'analyse suivante avait été donnée. A toutes fins utiles, en voici le rappel :

Rafaat Mrad Dali-رفعت مراد الدالي
Ce remaniement sera un quitte ou double d'ici aux prochaines élections pour la Troïka : CPR, Ettakatol, et Ennahda en particulier en tant que premier parti élu sur l’échiquier politique.
J’ai naturellement (en observateur et acteur ayant côtoyé de près le politique passé et présent, en Tunisie et ailleurs) soutenu et respecté la décision des urnes en encourageant l’action des décideurs et du gouvernement issus des élections ainsi que leur réussite dans la gouvernance et ce malgré mon opposition passée à leur tenue (dernières élections) à l’époque (voir mes interviews et déclarations) pour cause d’opacité des règles du jeu électoral et de non transparence financière de la période précédent ces élections.
Certains étaient trop pressés, le peuple a voté, on connaît la suite… la gouvernance gouverne dans des conditions de grandes souffrances, le peuple s’impatiente à juste titre, les nostalgiques contre-révolutionnaires du Benalisme manipulent, divisent, attisent le feu, jubilent et relèvent la tête...
En ce qui concerne ce remaniement en cours qui constitue une priorité, tout dépendra, en premier, du choix des « hommes et femmes » et non des concessions faites à tel ou tel parti, à savoir des personnalités expérimentées*, compétentes*, rassembleuses*  et non impliquées avec l’ex régime ( comme la mafia, le système de la dictature vous colle à la peau à vie), qu’il faut engager à la place qu’il faut, pour ramener, avant tout, la confiance à l’intérieur comme à l’extérieur du pays.
La résultante, oui la résultante de ces qualités aboutit à une valeur sûre qui est l'Exemplarité. Quand les chefs sont exemplaires, tout va et tout le monde suit.
Dans les négociations intraTroïka en cours,  il est nécessaire et recommandé de privilégier l’évaluation forte, déterminée et sans états d'âme, des faiblesses de la gouvernance actuelle pour corriger le tir et dépasser  la surenchère apologique improductive des points positifs des uns et des autres. Quels que soient la composition et le profil du gouvernement ainsi composé,  l’ANC, malgré ses points faibles, reste souveraine, et l’équilibre du choix des urnes précédentes continue d’être ainsi respecté et préservé en attendant les prochaines élections.
Ces négociations doivent d’abord tourner le dos à la prédominance de la course aux postes, aux improductives concessions partisanes et regarder en premier  dans une direction unique, celle de l’intérêt général du pays et je mesure mes mots, n’ayant pas l’habitude du double langage et encore moins de la langue de bois. A défaut donc, c’est la caution déjà avancée aux contre- révolutionnaires et partisans du chaos.
Pour assurer le choc salvateur nécessaire dans les conditions actuelles, ce remaniement doit être conséquent et écarter tous détenteurs de portefeuille, sujet à doute dans le cumul des mandats, des privilèges et des intérêts avec la fonction. Certains ministres sont dans ce cas, ils tirent leur parti vers le bas et leur impopularité est sans ambiguïté. Ils doivent céder la place pour oxygéner le système. Le prochain gouvernement et son action seront observés et contrôlés à la loupe par l’opinion publique et toutes les bonnes volontés.
Sans exemplarité, il n’y a pas de confiance. Sans confiance, il n’ y a pas de soutient. Sans soutient… on est seul et, seul, on est quantité négligeable.
رفعت مراد الدالي
 Mots clés : remaniement, Troika, Ennahda, PCR,  Ettakatol, compétences techniques et politiques, opposition, opinion publique, le citoyen, contre-révolution
تونس، تحوير وزاري، صلتة، تريكة، النهضة، حزب المئتمر، التكتل، المثالية، معارضة، ري العام، المواطن، 
الثورة  المضادة

 Quelques recommandations pratiquées par les officines politiques de pays avancés.
* Expérimentées : l’art de bien gérer son « moi », son entourage proche ainsi que son environnement sociétal,  professionnel et politique
* Compétentes :  et reconnues comme telles
 * Rassembleuses:   image et pédagogie ++

jeudi 14 février 2013

Rafaat Mrad Dali à Hamadi Jebali : « très souvent, lorsque l‘on négocie, la vérité se trouve à mi-chemin…et le mi-chemin n’est jamais statique ».

Mise à jour (19 mars 2013) : il avait été recommandé d'être souple dans la négociation pour être ferme dans l'action. Hélas, cela n'a pas été le cas. Hamadi Jebali reste un bon gars et en politique, qui sait ?.

Rafaat Mrad Dali. Les tireurs de ficelle nostalgiques sont là..sous de multiples prête-noms

Extrait publié  le 19 juin 2012
La citoyenneté responsable impose d’entendre, de la part de toutes les  formations politiques, un message clair de rupture avec les anciennes procédures mafieuses et de barrage face à tous les courants contre-révolutionnaires qui cherchent par tous les moyens y compris "casser notre authenticité", à créer un climat d'insécurité, à diviser la majorité des  tunisiens pour préserver les intérêts juridico-politico- financiers d’une « minorité malsaine » largement engraissée et implantée par l’ancien système aux dépens la majorité des régions du reste du pays cantonnés à la sous-dépendance.
Sans ce message et cette ligne rouge consensuels, ces partis ne seront que « nuage éphémère balayé par la brise… »
Il ne faut pas se leurrer davantage. Les tireurs de ficelle nostalgiques sont là, en Tunisie et hors de nos frontières, manipulant les réseaux sociaux et certains portails numériques à tout va, sous de multiples prête-noms pour que la révolution s’achève dans la déroute ou le chaos et pour l’affaiblissement des repères du tunisien.
Les tunisiens en général et de toutes professions, conscients de tous ces enjeux, font heureusement barrage à cette catégorie de meneurs « tous-terrains et de tous niveaux», bien structurée, privilégiant « la bourse » des contre-révolutionnaires  à l’intérêt général et à la sécurité de leurs concitoyens. Oui, la sécurité et l'application de la loi pour tous, priorités des priorités, le gouvernement et les politiciens avertis doivent en saisir, en tout temps,  la nécessité. Pour le reste des défis à relever, économiques, sociaux, éducatifs etc..rien ne pourra alors les faire échouer car pour nous tous, il n'y a pas de liberté réelle sans ligne rouge et sans principes balisant "le mieux vivre ensemble"et barrant la route aux nostalgiques des passe-droits.
L’Appel Républicain et ses nombreux alliés dans les principes et les valeurs, resteront vigilants.
Rafâat Mrad Dali
MAR : "au cœur de toutes les Actions et Réformes"
Observatoire vigilant de propositions et d'alertes contre toutes voies ou dérives antidémocratiques d'où qu'elles viennent..

Rafaat Mrad Dali : j’appelle Rached Ghannouchi à plus de souplesse et de raison. La sagesse, c’est aussi savoir se remettre en question pour mieux aller ensemble de l’avant

 Il faut soutenir Hamadi Jebali dans les conditions sus-cités. (post précédent).
Je tiens à préciser également ma grande estime à Mohamed Abbou qui méritait, sans doute, un grand ministère de souveraineté. Il en a l'étoffe.

dimanche 10 février 2013

Tunisie. Rafaat Mrad Dali : « OUI » à Hamadi Jebali avec..

Hamadi Jebali
Nous invitons toutes les bonnes volontés à dire «OUI » à  Hamadi Jebali  pour conduire une nouvelle équipe gouvernementale de «compétences » (compétences et non uniquement technocrates - explication ci-dessous) d‘ici aux prochaines élections.

Confiance sous vigilance et sous réserve..
En cette transition démocratique pré-électorale délicate qui nécessite des réajustements significatifs de l'exécutif pour ébranler un certain immobilisme ambiant, retrouver la sérénité d’un nouveau cap et accélérer l’allure du cheminement, il est contextuellement recommandé de la part d’Ennahdha (Rached Ghannouchi), de ses alliés : CPR ( Mohamed Abbou) et Ettakatol (Mustapha Ben Jaafar - Mohamed Bennour)  et de toute la classe politique d’accorder une réponse positive à la proposition du premier ministre Hamadi Jebali (sous réserve de quelques concessions consensuelles nécessaires de part et d'autre, la troïka ne devant pas éclater mais évoluer).
L’erreur étant humaine, si des réajustements supplémentaires s'avèreraient nécessaires en cours de route, la flexibilité de la démarche n’empêchera pas d’alerter et de corriger ensuite en accord avec le président de la république Moncef Marzouki.

Pour une démocratie spécifiquement tunisienne
Essentiel : les objectifs et éléments majeurs de la feuille de route doivent être clairs :
- Remettre le pays au travail,
- faire respecter sans concessions le civisme à tous et partout,
- poursuivre encore plus efficacement la lutte contre la gangrène de la corruption
- contrecarrer vigoureusement les tentatives contre révolutionnaires de la mafia politicofinancière de l'ex système d’où qu’elles viennent,ses tentacules étant encore omniprésentes
- encourager audacieusement les hommes d’affaires et l'entrepreneuriat responsables et solidaires,
- baliser le terrain pour des élections justes, transparentes ouvrant la voie à l’exemplarité et non à la médiocrité
Voilà les défis de cette démarche à ce stade de la démocratie spécifiquement tunisienne que nous souhaitons, fortement attachée à son authenticité et sa modernité, loin des copier-coller aveugles et qui se doit d’être exemplaire dans le monde comme le fut sa révolution et le limogeage record du dictateur..

Compétences de technocrates et/ou politico-technocrates
A coté des "objectifs - feuille de route" de l'équipe, ce qui compte le plus dans l’exécutif c’est les « hommes » avant les partis et les copains. J’espère que nous assisterons à de bon choix et non au retour de certains liés à vie à la tentacule mafieuse.
Oui pour une nouvelle équipe gouvernementale soudée et disciplinée de compétences avant tout (technocrates et/ politico technocrates mais apolitiques dans le sens qu'ils restent au dessus des partis dans l'action) face à des objectifs bien tracés et clairs tels énumérés ci-dessus),  associée à un environnement solide de contrôle et de garde-fous. Pourquoi? Parce que l'échiquier politique est une jungle peuplée également de loups malfaisants, présents depuis longtemps ayant déjà balisés leurs territoires pour ne privilégier uniquement que leurs intérêts et ambitions personnelles (le pays et le peuple restant le dernier de leur souci). Que peut faire alors un excellent technocrate mais ignorant les ficelles des forces mafieuses omniprésentes spécialisées dans l'infiltration et la manipulation ?.
ATTENTION : L’ANC présidée par Mustapha Ben Jaafar, assemblée élue du peuple et assumée par lui, reste incontestablement souveraine, malgré ses points faibles, pour approuver les lois, parachever le projet de constitution et évaluer l’action gouvernementale, si cela s'avère nécessaire, en attendant les urnes prochaines.Toute démarche contraire à ce principe est vouée à l’échec

Assemblée Nationale Constituante de Tunisie
Une simple suggestion : un comité consultatif de sages  composé de 10 à 20 personnalités respectées
La gouvernance avec un exécutif de compétences composé également d'apolitiques (partisans révolutionnaires mais non partisans aux partis) ainsi globalement structurée ( ANC - présidence de la république -  Gouvernement) s’honorerait, pourquoi pas, de désigner d’un commun accord, un comité de sages uniquement consultatif  (aucun rôle exécutif ) composé de 10 à 20 personnalités respectées pour leur ancienneté, confiance et intégrité. (hommes politiques, de culture, de lettres et des arts etc ). Sur demande, ils veilleront au respect de la déontologie politique et des valeurs civiques et humanistes au sein des élites « dites politiques » et des « référents ».

Avons-nous le choix pour avancer mieux et plus vite ?

Rappel :
1/ si le choix des urnes précédentes, donc du peuple,  venait à ne pas être respecté aujourd'hui ( même au regard du retard du cheminement actuel ), il risque alors de ne pas être respecté demain après les élections prochaines avec toutes les dérives en rapport.
2/ Afin d'éviter les amalgames de certaines déclarations ici et ailleurs, la gouvernance tunisienne actuelle, (exécutif compris), n'est pas religieuse, nous n'avons pas à notre connaissance d'imams ou de moallahs dans le gouvernement. A l'image des partis chrétiens ou chrétiens démocrates européens, des partis tunisiens islamistes (à l'instar d'Ennahdha et d'autres) ont démocratiquement et légalement pignon sur rue..Par ailleurs, pour éviter les amalgames comparatifs, les tunisiens dits laïques sont quasi majoritairement musulmans.

PS :  en réponse à certains commentaires, notre seule préoccupation est l'aboutissement d'un cheminement démocratique serein dominé par l'intérêt général.


RMD



jeudi 7 février 2013

Rafaat Mrad Dali : la grève générale sanctionnera la Tunisie et non les assassins de Chokri Belaid.

Toute la mobilisation, dans tout le pays, de toutes les forces politiques, sociales et civiles, doit se concentrer calmement, fermement et en premier lieu sur la demande unanime et express de vérité en ce qui concerne les commanditaires de cet acte odieux et sur les tueurs à leur solde. La grève n'a pas de sens, ni l'exploitation politicienne de cette tragédie par les égos démesurés. On veut simplement que cela ne se reproduise plus.
L'affaire Belaid est grave et les résultats de l'enquête étonneront plus d'un. La vérité se trouve souvent maquillée et enfouie dans la face cachée de l'iceberg.

Tunisie : Appel au calme et à la vigilance. La passion et l'hystérie ne mènent à rien. La démocratie, même en cheminement, nettoie d'elle même toutes les extrêmes. Patience.

La démocratie, même en cheminement, nettoie ou adoucie d'elle même toutes les extrêmes venant de tous bords ou de tous partis.

mercredi 6 février 2013

Tunisie. Rafaat Mrad Dali : « l’assassinat de Chokri Belaid, un acte odieux dans une ambiance politique surchauffée, scientifiquement entretenue contre la Tunisie et sa révolution »

Qui a intérêt à assassiner l'homme politique Ckokri Belaid ?
Qui a intérêt à exploiter ensuite ce crime inqualifiable envers la démocratie et la Tunisie? Pour quelles sinistres ambitions ?
Quelle importance et quel rôle jouent encore le mercenariat criminel et mafieux, tentacule de l’ex régime ?
Le ministère de l’intérieur est-il noyauté par les contre- révolutionnaires ?
 L'affaire Belaid est grave et les résultats de l'enquête étonneront plus d'un. La vérité se trouve souvent maquillée et enfouie dans la face cachée de l'iceberg.
Toutes ces questions restent d’actualité comme le vent d’hystérie et de violences verbales qui règne royalement  parmi une certaine « élite politique » confuse, usée et épuisée, le tout  entretenu par quelques médias ciblés connus , concentrés plus sur le superflu, les passions et la division que sur l’essentiel. 
Promouvoir le rassemblement de tous les tunisiens autour du travail, des valeurs et des principes dans un environnement de libertés voilà l'essentiel.
Je ne m’inquiète pas pour autant, la démocratie et les lois de la république s’imposeront tant que cette liberté d’expression s’exprime à plein poumon comme nulle part ailleurs. Cela prendra le temps qu’il faudra ?

Je ne juge pas, j’observe et je m’interroge.

vendredi 1 février 2013

Rafaat Mrad Dali : ceux qui pensent qu’Ennahdha s'affaiblie durablement font erreur.


En négociant positivement avec ses partenaires de la Troïka, en remettant en question certains de ses choix, elle s’enrichira et se renforcera davantage contrairement à ce qui se lit ça et là. Seule et isolée, sa marge de manœuvre sera largement amputée.
Dans l’échiquier politique et sauf erreur stratégique majeur, Ennahdha aux cotés de ses alliés et malgré ses défaillances hautement visibles,  a un rôle régulateur positif substantiel face au système mafieux et à la corruption généralisée héritée de l'ancien système qui ne laissera aucun répit à la stabilité et à la confiance. L'action de la Troïka présente un déficit de communication et de stratégie majeurs. Néanmoins, Ennahdha  est et restera incontournable en démocratie.