Dans un communiqué
publié mercredi 28 novembre 2012, à propos des violences survenues à Siliana cette semaine, la coordination de la Troïka a indiqué qu’elle « regrette
les conséquences de ces violences » qui ont fait plusieurs blessés parmi les
manifestants et les forces de l’ordre et ayant provoqué des dégâts matériels dans les biens publics et privés.
Elle a appelé à former une commission
chargée d’enquêter dans ces événements pour révéler les circonstances de
ces incidents et déterminer les responsabilités « dans les plus brefs délais ».
La Troïka au pouvoir a mis en garde contre les « dangers de la situation
actuelle », indiquant que « les forces contre-révolutionnaires
ne pouvaient réapparaître que dans un
contexte de chaos et de violences ».
La coordination dit, cependant, qu’elle « comprend les
revendications légitimes relatives au développement et de l’emploi » et exprime
« son attachement au droit d’expression et de protestation pacifique ».
Elle souligne par la même « l’obligation du
respect de l’Etat et ses institutions légitimes » ainsi que « ses symboles ». Elle appelle en
outre à préserver la paix sociale.
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