mardi 17 juillet 2012

Tunisie : déficit de confiance entre la gouvernance et le gouverneur de la banque centrale. Il faut bien, un jour, trancher


Dans la vie comme en politique, il est des moments difficiles nécessitant des séparations douloureuses.   
Il est temps de mettre fin au feuilleton qui, dans la durée, met à mal le fonctionnement des institutions. La confiance n’est plus. 
Au delà des raisons et des tords qui lui sont attribués, Mustapha Kamal Nabli, s’honorerait de jeter l’éponge, le divorce étant définitivement consommé.

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